Intercéréales a publié un communiqué le 25 janvier 2024, au moment de la mobilisation, dont je donne une lecture partielle : « Depuis plusieurs mois déjà, les agriculteurs et les filières dénoncent ces injonctions contradictoires auxquelles ils sont confrontés quotidiennement et au manque total de cadre stratégique sur les sujets agricoles et agroalimentaires, sur les ambitions nécessaires en matière d'alimentation, de climat, de création de valeur, de vitalité des territoires. 89 % des Français soutiennent cette mobilisation. Il faut désormais que des réponses urgentes et consistantes soient apportées aux agriculteurs et aux filières par le Gouvernement et la Commission européenne. D'ici là, l'Intercéréales sera aux côtés des agriculteurs. »
Vous jugiez à ce moment-là qu'Intercéréales, non seulement par solidarité vis-à-vis des autres filières agricoles, mais également au nom de la filière, avait des revendications à porter. Pourriez-vous nous préciser quels sont notamment ces injonctions contradictoires et ce manque de cadre stratégique ?