Vous avez également évoqué les mesures miroirs qui, finalement, ne concernent que quelques aspects limités sur les hormones de croissance et les antibiotiques. Pouvez-vous évoquer le cas des farines animales, que le Canada emploie à la différence de l'Union européenne ?
S'agissant des limites maximales résiduelles, j'ai participé l'année dernière aux travaux de la commission d'enquête sur les produits phytosanitaires. Nous avions été surpris de constater que si des molécules sont interdites sur le territoire l'Union européenne, les limites maximales sur les importations voient leurs seuils de tolérance augmenter. Comment comprendre de tels choix ?