Cependant, tout imparfait qu'il soit, ce texte mérite-t-il d'être rejeté ? Je ne le crois pas, d'autant que le cyberharcèlement, les deepfake ou la pédocriminalité ne sont pas des sujets secondaires et que nous ne voulons pas faire obstacle à toute protection contre ces phénomènes.
Je regrette, à titre personnel, qu'il n'y ait plus de motion de renvoi en commission car ce texte aurait incontestablement mérité un réexamen plutôt qu'un rejet.