Je souscris à tous les arguments développés par le rapporteur. J'insiste sur le fait que nous ne remettons absolument pas en question les compétences de la Polynésie relatives à son domaine maritime, qui sont déjà strictement définies. Surtout, l'objectif de l'ordonnance est de préciser des dispositions à ce stade confuses – il faut bien le reconnaître. Or l'abrogation de l'article L. 5621-2 du CG3P introduirait la plus grande confusion : l'État aurait la possibilité d'acquérir des biens culturels situés largement en dehors de son propre domaine public maritime. J'émets donc un avis défavorable.