Le droit de dissolution est un débat ancien et complexe, mais c'est l'un des principaux mécanismes du parlementarisme. Sa suppression s'imposerait dans un régime présidentiel mais, dans un régime parlementaire, elle recréerait l'instabilité de la IVe République qui a conduit à l'avènement de la Ve République. J'y suis défavorable. Il faut éviter les excès de l'une et de l'autre.