J'en ai parlé tout à l'heure. Il y a, s'agissant de l'évaluation de la concentration, à l'aune du développement des plurimédias, une partie qui regarde l'Autorité de la concurrence et une autre l'Arcom.
Les seuils de concentration doivent exister. Si ce n'était pas le cas ou s'ils étaient trop larges, on pourrait effectivement aboutir à un monopole, mais cela ne correspond ni à la situation actuelle ni à l'esprit de ma mission en tant que ministre de la culture.