Vous avez bien fait de préciser que vous possédiez 1 000 actions du groupe M6. On aurait pu craindre un conflit d'intérêts, mais on voit qu'il n'en est rien !
Une première question concernant vos anciens projets. Nous avons auditionné le président et le rapporteur de la commission d'enquête sénatoriale sur la concentration des médias en France, MM. Laurent Lafon et David Assouline, qui suggèrent que le fait que le propriétaire des tuyaux soit aussi celui des programmes diffusés fait courir un risque grave à la démocratie et au pluralisme. Vous tombez sous le coup de ce genre de critiques. Si vous formiez un projet de cet ordre, quelles garanties pourriez-vous fournir à cet égard ?