La liberté d'un journaliste – une noble fonction qu'ont exercée certains députés ici présents – passe nécessairement par des échanges avec les responsables politiques, que ceux-ci soient parlementaires ou membres de l'exécutif. Très clairement, l'Arcom n'a pas pour mission de sonder les reins et les cœurs des journalistes pour savoir qui ils rencontrent et avec qui ils déjeunent.