Monsieur Patrier-Leitus, vous avez évoqué une carte scolaire à trois ans pour les écoles rurales. Comme vous, je souhaite que la réflexion soit menée pour trois ans. Il ne s'agit pas d'installer un moratoire, mais de donner une visibilité sur trois ans. Les services de l'État dialoguent avec les élus à ce sujet, afin que ce dispositif soit généralisé dès l'année prochaine.
Monsieur Echaniz, vous m'avez demandé de confirmer que les sujets des épreuves du brevet, rédigés en français, ne seraient plus traduits en basque. Je crois avoir déjà répondu.