Je m'attendais un peu à cette réaction. Nous allons créer de l'emploi dans l'industrie d'hier en la verdissant et dans celle de demain en favorisant son développement en France. L'an dernier, notre pays comptait dix-neuf usines textiles de plus que l'année précédente. C'est vrai, elles fabriquent les textiles de demain, des textiles techniques. Si nous adoptons une réglementation plus contraignante que les normes européennes, elles souffriront d'un déficit de compétitivité. Vous pouvez continuer à hurler : c'est la réalité.
J'ai soutenu l'amendement n° 111 , qui a, hélas, été rejeté. Je continue à penser que l'industrie est l'une des contributions essentielles à la révolution écologique.