Pour ma part, je préfère fonder l'expertise sur des analyses précises.
Ensuite, un second comité, celui dit d'analyse socio-économique, étudie, usage par usage, la possibilité d'avoir des substituts et le temps nécessaire pour en trouver, en intégrant les enjeux socio-économiques. Cela peut en effet se traduire par des interdictions avec des dates d'entrée en vigueur différentes, selon les usages.
On peut, faute de substituts, garder les Pfas dans les prothèses de hanche pendant trois, quatre ou cinq ans, et les interdire immédiatement pour les produits alimentaires, comme cela a été fait.