Ils ne se dérouleront pas exclusivement en Seine-Saint-Denis, même si ce département – le plus jeune et le plus pauvre de France – mérite toute notre attention et qu'une certaine concentration de moyens se justifie.
Mais nous accompagnons aussi les efforts d'autres localités, comme Lille ou Châteauroux, notamment là où auront lieu des épreuves de football, comme à Saint-Étienne, à Bordeaux ou à Nantes. L'État a aussi investi 25 millions d'euros pour la construction et la rénovation des centres de préparation aux jeux. Cet investissement bénéficie aux collectivités, qui seront par ailleurs embarquées dans la dynamique du relais de la flamme. Nous avons travaillé avec les préfets et les acteurs locaux pour que 250 clubs 2024 voient le jour, en zone urbaine mais aussi en zone rurale. Cela permettra à toute la population, qu'elle habite en ville ou au cœur de la ruralité, de suivre les Jeux olympiques et paralympiques avec la même passion.