Les agréments des fédérations sportives arriveront à échéance fin 2024. Adapter les règles relatives à la rémunération de leurs dirigeants apparaît aujourd'hui nécessaire. Ne craignez-vous pas que le montage juridique propre au Cojop puisse s'étendre aux fédérations voire à de grandes associations sportives, au risque de créer deux mouvements : d'un côté un mouvement sportif bénévole œuvrant pour l'intérêt général, non fiscalisé, de l'autre un mouvement sportif fiscalisé avec des dirigeants très bien rémunérés ?