Vous avez raison : les rémunérations, c'est-à-dire la masse salariale, constituent un poste de dépenses important pour le Cojop qui aura rémunéré, à terme, 4 000 personnes pour livrer les Jeux olympiques et paralympiques. Ces dépenses recouvrent des expertises et bien sûr du travail. Elles font l'objet une vigilance énorme, de la part de l'État qui siège dans les instances du comité d'organisation, comme de la part du comité des rémunérations, lequel est composé de personnalités indépendantes, expertes dans le domaine des ressources humaines, qui valident l'ensemble des grilles de salaires pour s'assurer que les rémunérations proposées ne soient pas anormales et qu'il n'y ait ni dérives ni écarts. Les plus hautes rémunérations du comité d'organisation, qui correspondent aux plus hautes responsabilités, ne dépassent pas et sont même souvent très inférieures à celles que l'on a pu constater lors de précédents Jeux, comme ceux de Londres par exemple.