La question de l'hébergement d'urgence est capitale et le travail que nous menons avec les associations de solidarité nécessite la plus grande humanité. Avant de revenir sur les fondements de cette politique, sur laquelle l'État est très engagé, je veux préciser qu'elle n'est en rien la résultante des Jeux olympiques et paralympiques. J'insiste sur ce message : la déconcentration de l'accueil dans des centres temporaires pour les personnes qui ont besoin d'être mises à l'abri, notamment les demandeurs d'asile, n'a pas lieu du fait des Jeux olympiques et paralympiques.