Après les épreuves tests de l'été dernier, nous avons pu nous procurer les relevés de la qualité de l'eau. Ils montrent que les athlètes ont alors pris des risques : le top départ de la course a été donné en dépit de données attestant un danger. Nous ne pouvons plus nous permettre de prendre le moindre risque en la matière. Existe-t-il un plan B ? Il ne suffira pas de décaler les épreuves de quelques jours, comme on l'a fait alors. Pouvez-vous nous rassurer à ce sujet, madame la ministre ?