Il est à noter qu'en matière de santé cardiovasculaire, les femmes sont sous-diagnostiquées et moins bien prises en charge que les hommes : 200 femmes meurent de maladies cardiovasculaires chaque jour ; 80 % des décès seraient évitables. J'ajoute qu'un tiers d'entre elles l'ignorent, alors même qu'il s'agit de la première cause de mortalité féminine. Ces chiffres alarmants montrent l'étendue du travail que l'État a encore à accomplir.