Le Gouvernement évalue à 1 % la croissance pour 2023. La divergence avec l'évaluation de la Banque de France porte principalement sur l'évolution des tarifs réglementés de vente du gaz et de l'électricité. Vous avez établi plusieurs scénarios, dont l'un où ces prix restent limités, et il s'avère convergent avec celui du Gouvernement. Pourriez-vous nous expliciter cette divergence et cette convergence ?
Le Gouvernement a choisi de maintenir à 1,35 % la croissance potentielle pour la prochaine période de la loi de programmation. Quel regard portez-vous sur cette prévision ? Pensez-vous que les crises n'ont eu aucun impact sur nos capacités de production et notre offre de services ? Rejoignez-vous le Gouvernement pour dire que les facteurs globaux de production ont diminué mais que l'offre de travail a augmenté ?