La présence de PFAS dans l'air n'est pas contrôlée aujourd'hui, faute de méthodologie. Leur persistance ainsi que la sensibilité de la population à ces polluants dans l'air sont des phénomènes mal connus.
L'Atmo Auvergne Rhône-Alpes, qui est l'observatoire de la qualité de l'air de la région, développe actuellement une méthodologie qui devrait ensuite être déployée dans les autres régions.
J'émets un avis favorable car il me semble très utile, pour mieux connaître l'exposition de la population, de pouvoir contrôler la présence de PFAS dans l'air et de les quantifier, à l'instar de ce qui va être fait pour l'eau potable.