Je soutiens l'amendement de compromis présenté par le rapporteur. Au sujet de la fast fashion, nous avons démontré notre capacité à trouver un consensus sur un texte, même s'il est moins ambitieux que ce que nous aurions souhaité. Il en va de même pour la présente proposition de loi : le rapporteur a revu son ambition pour parvenir à un compromis. La réécriture qu'il propose est équilibrée et réaliste puisqu'elle tient compte du point de vue des industriels et de ce qu'il est possible de faire aujourd'hui.