Vous avez révélé à deux reprises lors de cette audition des échanges entre M. Boyard et vous-même. Je vous rappelle que la diffusion de la correspondance privée entre deux personnes sans leur consentement est sanctionnée par le code pénal. Vous parlez aujourd'hui sous serment : vous êtes donc passible de poursuite en cas de parjure. J'en profite pour vous demander si vous avez obtenu le consentement de M. Boyard.