Nous aurons l'occasion d'en discuter avec M. Roch-Olivier Maistre, mais il me semble que le raisonnement de M. Olivier Schrameck ne consistait pas à remettre en cause le principe d'une discussion en deux temps, mais de constater que, dans la pratique, le deuxième temps était déjà biaisé par une forme de présélection. La critique ou les réserves émises par M. Olivier Schrameck portaient peut-être sur le fait que la présélection opérée lors du premier temps de l'appel à candidatures, très ouvert, laisse la possibilité aux groupes de faire une proposition relativement moins-disante.