L'enseignement artistique illustre toute la diversité et la richesse culturelle de notre pays tout en étant le vecteur privilégié de l'épanouissement individuel et collectif. Dans ma circonscription, les conservatoires, auxquels tout le monde ne peut accéder, bénéficient d'un fort soutien public tandis que d'autres structures, associatives, auraient également besoin d'aide – je pense à l'association Emari. Cette disparité crée une barrière financière pour de nombreux enfants au risque de freiner la mixité sociale et l'accès à la culture pour tous. Malgré des moyens limités, ces structures pratiquent des tarifs abordables favorisant une réelle diversité dans les effectifs. Comment l'État peut-il les accompagner financièrement ?