Vos arguments sont difficilement audibles, monsieur le rapporteur, dans la mesure où, s'il existe des outils dans les grandes associations, il doit être facile de les dupliquer.
Des gens donnent de leur temps en travaillant bénévolement. Si nous devions les payer, cela coûterait des millions, voire des milliards d'euros à l'État – nous le savons pertinemment. Ces bénévoles fourniront d'énormes efforts cet été pendant les Jeux olympiques ; ils en fournissent ou en ont déjà fourni dans les régions, par suite des inondations, des intempéries ou des incendies, comme l'été dernier ; certains se déplacent à l'étranger par solidarité. Nous avons le devoir de reconnaître leur engagement, et de le faire rapidement, sans renvoyer ces mesures aux calendes grecques.