Celles et ceux qui assurent des formations aux premiers secours appartiennent parfois à des structures qui ne proposent que des formations, et dont les recettes ne sont jamais investies dans l'achat de matériels de secours – à titre d'exemple, je rappelle qu'une ambulance coûte 110 000 euros. Certaines de ces structures deviennent de véritables entreprises qui échappent à la logique du bénévolat. C'est la raison pour laquelle j'émettrai un avis défavorable.