Sachez-le, la « mal-inscription » sur les listes électorales, qu'ont définie les sociologues Céline Braconnier et Jean-Yves Dormagen, est un puissant facteur d'abstention. Selon eux, il y a deux fois et demi plus de risques de s'abstenir quand on est mal inscrit. Et qui sont les mal-inscrits ? Selon l'Insee, 30 % des employés et des ouvriers et 40 % des jeunes de 18 à 25 ans.
J'affirme qu'existe en France un suffrage censitaire qui ne dit pas son nom
Le 12/04/2024 à 10:02, Aristide a dit :
Les pauvres votent pour les riches, il faut s'y faire...
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui