Monsieur le rapporteur, j'entends votre critique selon laquelle il est excessif de viser les personnes morales qui recevraient ne serait-ce qu'un euro d'une puissance étrangère. Je vous propose de sous-amender mon amendement pour remonter la part des ressources financées par une puissance étrangère à 10 %, 20 % ou 30 %, sans pour autant atteindre les 50 %. Vous avez répondu à ma critique par une caricature en évoquant un financement d'un euro. Sortons de la caricature et revenons à un chiffrage raisonnable.