…mais surtout grâce à un instrument mis à disposition par la Commission européenne, à savoir le Digital Services Act (DSA), qui, depuis le mois d'août dernier, oblige les plateformes à fournir aux utilisateurs des outils de signalement des contenus qu'ils soupçonnent d'être illicites. Une fois le signalement effectué, il revient à la DGCCRF, à Pharos (plateforme d'harmonisation, d'analyse, de recoupement et d'orientation des signalements) ou à la plateforme sur lequel le contenu a été posté de mener les investigations nécessaires.