Or votre mondialisation est morte – morte dans les cœurs, morte dans les têtes. Vous représentez l'ancien monde, le système de libre-échange dans lequel les gros mangent les petits, le Canada dans le Ceta, l'Amérique latine dans le Mercosur. Les Français, aux côtés des agriculteurs, n'en veulent pas.
Sachez que si vous persistez, notre groupe inscrira, le 30 mai prochain, dans sa niche parlementaire, une proposition de loi sur le Ceta pour vous contraindre à poursuivre le processus démocratique. Vous avez peur de la voix du peuple ; nous la défendrons quoi qu'il en coûte.