Si aucun héritier n'est retrouvé, le GIP pourra en effet proposer des solutions aux municipalités, qui pourront par exemple en faire l'acquisition. Les procédures actuelles à cette fin sont extrêmement longues et complexes, et les maires sont réticents à les mettre en œuvre, afin de ne pas créer de frictions avec leurs administrés. Le GIP est rattaché à la CTM, mais dispose de son propre budget et de son propre conseil d'administration, et constitue un outil simple, clair et transparent, qui a réellement été créé par souci d'efficacité pour sortir de l'indivision. L'objectif est de passer à moins de 50 % d'indivision d'ici quatre à cinq ans en Martinique, contre 75 % aujourd'hui.