En conclusion, je souhaite souligner l'importance d'un travail collectif et transversal, qui associe les élus et les acteurs non étatiques de premier et de second niveau, pour entraîner l'adhésion à des démarches qui pourraient sinon être vécues comme contraignantes.
La culture de la résilience et de la gestion de crise est réelle sur nos territoires. Par exemple, même si c'est une obligation, la plupart des communes installent volontiers des panneaux sur le risque de tsunamis et les chemins d'évacuation à suivre par la population le cas échéant. Ils sont lus et bénéficient de retours très favorables.
Nous vous adresserons, par l'intermédiaire de Mme Amélie de Sousa, les précisions que vous avez demandées et restons à votre disposition pour toute autre demande.