Des interrogations se font jour sur cet article, qui a été écrit par une journaliste israélienne pour le Wall Street Journal. Jusqu'à présent, la défense de l'UNRWA et des observateurs consiste à indiquer qu'ils ne disposent pas des preuves tangibles de la responsabilité d'un nombre aussi important de personnels de l'UNRWA.
Philippe Lazzarini, le commissaire général de l'UNRWA, effectue un excellent travail et je pense qu'une enquête plutôt indépendante serait en mesure de nous éclairer sur la responsabilité de la gouvernance au sein de l'agence. Affaiblir l'UNRWA représente à mon sens une grande erreur, dans la mesure où elle est la seule institution à pouvoir sauvegarder des vies palestiniennes. J'observe par ailleurs que le couloir maritime en cours de mise en œuvre ne permettra pas, selon moi, de répondre aux besoins urgents de la population civile sur place.