Je crois pouvoir dire que dans cette commission, nous sommes tous extrêmement sensibles à la mission essentielle des journalistes et au danger qu'ils courent dans l'accomplissement de cette mission. Nous ne pourrions rien faire, en tant que citoyens, en tant qu'élus, en tant que responsables politiques, si vous n'étiez pas vraiment aux avant-postes, exposés à la violence. C'est votre honneur d'accepter de déplaire aux uns et aux autres et votre courage d'être vraiment très exposés.
De même, nous défendons ici les diplomates, qui sont toujours injustement critiqués, alors qu'ils mènent une vie très complexe, très dure. Nous estimons que la nation doit leur rendre hommage, au même titre que les journalistes, les correspondants de guerre et les analystes situés dans les pays, qui mènent un travail aussi redoutable qu'essentiel.