L'AMF ne serait pas dans son rôle si elle laissait Bercy prendre le pouvoir sur les finances communales. Ce n'est aucunement une posture d'estimer que le ministère des finances a une propension à tutelliser, fiscaliser, etc. J'ajoute que les positions de l'AMF sont débattues et prises à l'unanimité.
La question sur la fiscalité des plus-values immobilières est intéressante mais elle est épineuse dans un contexte de prélèvements obligatoires très élevés. Elle doit s'inscrire dans une démarche globale et compte tenu du prix du foncier, il y a effectivement un enjeu.