Elle est disproportionnée, mais nous regrettons les insultes, qui n'auraient pas dû se produire. Le député Boyard connaissant très bien Cyril Hanouna, il utilise la technique de répéter la même chose comme un mantra. J'avais la responsabilité de décider s'il fallait couper. Le député dit alors qu'il n'y a pas de liberté d'expression sur les chaînes de Vincent Bolloré et qu'il ne peut pas s'exprimer. Il a dû répéter vingt-trois fois « Vincent Bolloré », « déforestation », « procès ». Nous nous retrouvons donc pris en otage d'un sujet qui n'était pas à l'ordre du jour, avec quelqu'un qui nous répète en permanence qu'il n'a pas la liberté de parole. Cyril s'est alors dégondé et est sorti de ce qu'il aurait dû être.