Dans la commune du Prêcheur, en Martinique, on assiste à un recul du trait de côte et à une relocalisation, déjà engagée, de l'habitat. Nous y participons, en notre qualité d'opérateur mais aussi de partenaire, puisque nous travaillons au relogement des familles concernées.
Le centre-ville de Fort-de-France n'est pas identifié comme une zone à risque, bien qu'il existe de réelles perspectives de submersion, dont on commence à percevoir certains signes. Il y a là des enjeux d'identification des zones constructibles et de repositionnement du patrimoine.
Nous ne pouvons plus assurer certains logements, que nous retirons de la location, du fait de submersions récurrentes – cela concerne en particulier la Guadeloupe.
Jusqu'à présent, nous n'avions pas matérialisé, en tant que tel, le risque de non-assurance des logements dans notre cartographie des risques mais c'est chose faite depuis cette année.