Il faut favoriser la présence des filles dans les filières scientifiques. On observe une stagnation préoccupante depuis une trentaine d'années : la proportion de 30 % environ de filles dans les classes préparatoires scientifiques n'évolue pas, et elle n'est que de 25 % dans les écoles d'ingénieurs. En mai dernier, vous aviez évoqué l'éventualité de quotas de jeunes femmes en classes préparatoires. Une évolution vers la parité dans les formations scientifiques est indispensable ; comment souhaitez-vous y contribuer ?