À moins de m'être mal exprimé, je ne pense pas avoir indiqué que l'État avait décidé de sacrifier nos routes. Des choix budgétaires ont été effectués, mais je ne connais pas les raisons ayant présidé à ces décisions. Lorsque nous avons été confrontés au gel des crédits routiers entre 2002 et 2005, notre avis n'a pas été sollicité.