Sans aller jusque-là, un économiste, peut-être un peu plus mou et modéré, préconisait le plafonnement de l'héritage, qui laisserait aux héritiers une part raisonnable dont ils pourraient profiter sans causer des inégalités démesurées. Il s'agit de John Stuart Mill qui, à ma connaissance, n'était pas non plus un révolutionnaire. Cette idée, comme le courant du saint-simonisme, remonte au XIX