Madame la députée, quand il y a un mort, c'est toujours un drame, qui nous émeut collectivement.
Dans ce cas, il s'agit d'un jeune qui a refusé d'obtempérer. Il arrive aussi que des policiers et des gendarmes perdent la vie, du fait de ces refus d'obtempérer. Il y en a eu cinq depuis que je suis ministre de l'intérieur, et je regrette que vous n'ayez pas eu un mot pour eux.