Pour créer une culture des soins d'accompagnement en fin de vie, nous devons travailler en lien avec la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, Sylvie Retailleau, dans le cadre du prochain plan d'organisation de la filière, et prévoir des enseignements universitaires. Les moyens ne sont pas la seule question : l'enseignement des soins palliatifs est indispensable ; or seules quelques heures de cours leur sont aujourd'hui consacrées dans les dix ans que durent les études médicales.