La question ne porte pas sur le fond ; après tout, on peut comprendre que le Gouvernement veuille étendre aux organismes dits philanthropiques la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme. Mais pourquoi ces amendements ne sont-ils examinés qu'en séance ? Nous avons étudié ce texte en commission, et voilà qu'arrivent, au dernier moment, des amendements particulièrement lourds ! Une telle façon de procéder n'est guère respectueuse du Parlement.