Enfin, j'appelle votre attention sur le fait que le report du scrutin ne préjuge en rien de la signature possible d'un accord, ce que nous souhaitons tous, soit avant l'entrée en vigueur de la révision constitutionnelle le 1er juillet, soit entre cette date et le jour du scrutin au second semestre. Dans ce dernier cas, c'est-à-dire si la perspective d'un accord se dessinait de façon sérieuse, le projet de loi constitutionnelle comprend une disposition qui permettrait au Gouvernement de provoquer un nouveau report de la date du scrutin, au plus tard en novembre 2025, le temps de soumettre au Parlement un autre projet de loi constitutionnelle ou des modifications de la loi constitutionnelle en cours ainsi qu'un projet de statut organique qui tirent toutes les conséquences dudit accord.