Du reste, comme vous l'avez souligné, il est avant tout nécessaire que les Français y consentent.
La commission émet un avis défavorable sur ces trois amendements, que j'expliquerai en faisant quelques remarques.
D'abord, vous supprimez toute modulation de la fiscalité en fonction du lien de parenté, ce qui revient à ne pas reproduire sur le plan fiscal les différences qui structurent le droit civil, en défavorisant les enfants et les petits-enfants par rapport à une longue tradition. Je comprends pourquoi vous le proposez, mais j'y vois un premier obstacle.