L'avis sur l'opportunité – pour reprendre votre propre terme, monsieur le député – de ces dispositifs est largement partagé. Les outils d'alerte sont opportuns car en sont équipés les professionnels qui en font la demande.
Sans empiéter sur les prérogatives du ministre, je pense qu'il faut prendre les décisions au plus près du terrain. Par exemple, la collectivité locale où je suis élu, la ville de Nice, met à la disposition des professionnels libéraux qui le veulent des boutons d'alerte permettant de contacter le centre de supervision urbain et de réaliser des prises d'ambiance sonore. Ces professionnels activent le dispositif quand ils le souhaitent.
Laissons les initiatives de terrain se déployer. Rédiger un rapport n'aboutirait qu'à les lister alors qu'il y a d'autres moyens de diffuser les bonnes pratiques. Donc avis défavorable.