Je suis convaincu que nous débattrons à nouveau de cette question avant 2030. Je comprends l'argument d'Alma Dufour, qui estime nécessaire d'aller plus loin. Cela dit, nous sommes déjà en train de franchir un cap en passant de 20 % à 50 %. Il nous faut maintenant définir l'affichage environnemental sur le fondement duquel nous pourrons assigner des pénalités. Je suis prêt à parier que nous aurons l'occasion par la suite d'examiner ensemble les effets du texte et, le cas échéant, les dispositions qui méritent d'être revues. À ce stade, je pense que l'équilibre trouvé par la commission est le bon, aussi le Gouvernement sera-t-il défavorable aux propositions visant à modifier ce taux de 50 %.