La raison pour laquelle nous avons prévu, non pas la privatisation, mais le cantonnement des activités de dosimétrie dans une filiale – dont l'amendement à venir du rapporteur garantit qu'elle sera publique – tient aux doutes que la Cour des comptes a émis sur la capacité à maintenir cette activité sans la séparer d'un point de vue comptable et financier, y compris dans le cadre actuel de l'IRSN. Dès lors, le développement et la pérennité de cette activité impliquent de définir un cadre financier et opérationnel adapté au sein d'établissements publics ou sous forme de filiales. On ne vous cache rien, madame Batho, du calme !