La première conclusion de cette étude a été de dire qu'il faut, en matière de radioprotection, raisonner pour l'exposition fréquente aux faibles doses comme on le fait pour une exposition forte sur une courte durée. La seconde conclusion établit une corrélation entre l'exposition à de faibles doses, celle que subissent les travailleurs du nucléaire, et le développement de cancers solides – le lien était déjà connu pour les leucémies.
Il faut donc qu'existe une responsabilité de l'exploitant à propos du suivi médical en matière de radioprotection des salariés. C'est la raison pour laquelle nous soutenons l'amendement de M. Jumel.