Il s'agit davantage d'un engagement politique que d'un accord bilatéral appelé à être formellement ratifié ou approuvé.
Le choix de l'exécutif de demander au Parlement de se prononcer par un vote montre cependant l'importance capitale qu'il attache à ce texte. C'est la représentation nationale qui, par un vote que je souhaite aussi large que possible, va s'engager avec le Gouvernement aux côtés de l'Ukraine. Le chef de l'État et le Premier ministre ont eu raison de nous associer à ce grand choix national.