L'accord de coopération bilatérale qui réunit Paris et Kiev est un premier pas. La décision d'acheter à l'étranger les matériels que nous ne finissons pas d'être incapables de fournir en est un second. Il est temps, plus que temps, de procéder de la sorte. Cela suffira-t-il ? Je ne sais pas, mais si cela ne suffit pas, il faudra remettre au pot sans délai, et « quoi qu'il en coûte », car à la guerre, il n'y a qu'un juge des comptes : la victoire.